JEUDI 18-05-1995 : Tamtattoucht – Aït Oudinar
8h30 : départ avec 2 gars de Tamtattoucht .
Puis, c’est la piste et ses décors splendides.
Nos 2 compagnons nous quittent un peu avant M’Serir.
Nous arrivons un peu avant Aït Oudinar à l’hôtel de la Kasbah de la vallée. Nous sommes comme 2 zombies, gris de poussières et fatigués.
La voiture n'est pas plus propre que nous !!!
Retour à la Kasbah de la vallée.
10h : nous sommes à Tinerhir où nous avons rendez-vous avec Moha devant la poste.
Au soir, nous mangeons sous une tente berbère et logeons dans une autre tente.
Nous quittons Moha. Il nous offre des piques pour brochettes et un petit pot de khôl.
Il ne nous fixe pas de prix pour notre séjour. Nous lui donnons 500 DHM.
8h30 : départ avec 2 gars de Tamtattoucht .
Heureusement que les 2 gars sont avec nous, car le 1er col est très dur, avec une montée difficile et des gros cailloux qui roulent. La voiture cale et il faut la pousser.
Puis, c’est la piste et ses décors splendides.
Nous rencontrons des nomades avec leurs bêtes.
Nos 2 compagnons nous quittent un peu avant M’Serir.
12h15 : M’Serir.
Nous sommes contents d'arriver car le plus dur est passé. Mais quels beaux paysages avons nous passés !
Nous descendons la piste en passant par les gorges du Haut Dadès : plus vert et plus d’eau que de l’autre côté.
Nous arrivons un peu avant Aït Oudinar à l’hôtel de la Kasbah de la vallée. Nous sommes comme 2 zombies, gris de poussières et fatigués. La voiture n'est pas plus propre que nous !!!
VENDREDI 19-05-1995 : Aït Oudinar
Lever tôt. Serge n’a pas envie de déjeuner.
Direction Boumalne, pour prendre de l’essence et chercher des sous. La banque n’accepte pas les cartes Visa. Heureusement, j’ai du cash que je peux changer.
Petit déjeuner à Boumalne. Serge va chez le barbier. Lorsqu'il en revient, il a perdu 5 ans !
Retour à la Kasbah de la vallée.
Un gars, Hussei, nous conduit à quelques km de là. Nous descendons à pied la montagne pour nous retrouver les pieds dans l’eau du Dadès. Hussei ramène la voiture à l’hôtel pour la laver.
Nous retournons vers l’hôtel en descendant le cours du Dadès. Paysages magnifiques et l’eau est bonne.
Retour à l’hôtel : dîner + sieste prolongée.
Retour à l’hôtel : dîner + sieste prolongée.
Petite balade dans le canyon en face de l’hôtel.
Les gens de l’hôtel sont chiants, hyper collants. Gentils mais tout cela semble trop commercial.
SAMEDI 20-05-1995 : Aït Oudinar – Merzouga
En déjeunant, nous discutons avec ce couple de français, habitant Marrakech. Ils nous renseignent sur Merzouga.
Nous payons la note de notre hôtel tout en constatant que "La Kasbah de la vallée" est l’hôtel le plus cher depuis le début de notre voyage. ............... oui vraiment trop commercial jusqu'au bout !!
8h30 : départ pour les environs de Tinejdad.
10h : nous sommes à Tinerhir où nous avons rendez-vous avec Moha devant la poste.
Nous sommes tous les trois contents de nous revoir. Et pour fêter nos retrouvailles, nous allons boire un thé à une terrasse.
Après une balade dans le souk à 3, pour acheter du khôl, 2 tajines et des timbres, nous nous quittons car nos routes se séparent. Mais nous promettons que si Moha se marie, nous viendrons pour faire la fête.
Nous reprenons la route et celle-ci est rapide jusqu’à Erfoud. Aussi, nous changeons notre programme et décidons d’aller jusqu’à Merzouga, aux portes du désert.
Nous continuons et suivons la piste tant bien que mal.
En arrivant près de l’oasis de Merzouga, il y a plusieurs pistes qui se croisent et l’hôtel « le petit prince » est encore à 15 km. Une femme nous accompagne jusqu’au lac où se trouvent des flamants roses.
Finalement, nous logeons à l’hôtel « Merzouga », le plus proche hôtel des dunes de sable fin.
Balade et coucher de soleil aux dunes.
Au soir, nous mangeons sous une tente berbère et logeons dans une autre tente.
Mais pendant la nuit, le vent se lève et bien que nous essayons de boucher les trous, beaucoup de sable entre dans la tente. Mal dormi.
