MERCREDI 31 OCTOBRE 2007 : Izamal
Serge veut voir la gare. Nous allons donc jusque-là, mais la gare s’est transformée en bureau de police. Nous nous baladons même dans la banlieue de la ville, en toute quiétude. Rencontre avec 2 maréchaux-ferrants, avec des enfants sortant de l’école, …
Serge ne sent pas très bien et a quelques problèmes intestinaux.
Après une bonne nuit de repos et discussions avec la patronne de la posada, nous partons à la découverte de la ville jaune. Nous parcourons les rues, le joli zocalo (place centrale). Les gens sont sympathiques.
Nous déjeunons au marché central d’un torta et d’un coca. Pas de café pour le petit déjeuner, c’est la génération coca-cola et d’ailleurs, les Mexicains sont en général assez dodus.
Nous revisitons le monastère où nous mettons 2 bougies devant l’image de la vierge. Les pyramides mayas ne sont, par contre, pas terribles. Il ne subsiste que quelques amas de pierres.
Nous déjeunons au marché central d’un torta et d’un coca. Pas de café pour le petit déjeuner, c’est la génération coca-cola et d’ailleurs, les Mexicains sont en général assez dodus.
Nous revisitons le monastère où nous mettons 2 bougies devant l’image de la vierge. Les pyramides mayas ne sont, par contre, pas terribles. Il ne subsiste que quelques amas de pierres.
Serge veut voir la gare. Nous allons donc jusque-là, mais la gare s’est transformée en bureau de police. Nous nous baladons même dans la banlieue de la ville, en toute quiétude. Rencontre avec 2 maréchaux-ferrants, avec des enfants sortant de l’école, …
Achat d’une glace chocolatée pour moi.
Rencontre avec un homme parlant maya : il semblerait qu’ils soient encore nombreux à le parler.
Change de 300 USD à la banque. Dîner d’une torta au marché central. Internet pour la suite de nos aventures. Retour à l’hôtel pour un peu de repos. Ecritures dans le patio de la posada.
Il tombe quelques gouttes, de quoi avoir un arc-en-ciel sur la ville.
La patronne de la posada nous conseille d’aller souper au resto Kinisch : restauration typique, plus chic, plus cher aussi. Mais quand nous arrivons au resto, on nous répond que c’est fermé ce soir.
Bon, on se rabat sur le resto El Toro, un autre resto typique avec pour Serge, une sopa de lima (poulet) et un poc-chuc (tranches de porcs grillés) et pour Pascale du guacamole et de l’escabèche oriente (poulet au citron). Bof, pas mauvais, sans plus, trop cher pour ce que c’est.
Bon, on se rabat sur le resto El Toro, un autre resto typique avec pour Serge, une sopa de lima (poulet) et un poc-chuc (tranches de porcs grillés) et pour Pascale du guacamole et de l’escabèche oriente (poulet au citron). Bof, pas mauvais, sans plus, trop cher pour ce que c’est.
Nous rentrons par la foire. Dodo à 21h30.
Petits soucis intestinaux pour moi, rien de grave.
JEUDI 01 NOVEMBRE 2007 : Izamal – Mérida
Lever 7h. Après la douche, nous allons déjeuner au marché central.
Il a plu des cordes tôt ce matin et les rues sont inondées.
Nous rejoignons le terminal des bus où à 9h, le bus pour Mérida démarre. Il longe des plantations de sisal et de cannes à sucre. Passage par de petits villages.
Nous arrivons vers 10h15 à Mérida où il y a pas mal d’embouteillages dans les petites rues de la ville.
Nous trouvons l’hôtel Oviedo, près du zocalo, dans la calle 62.
Petite pluie ne rafraîchissant pas vraiment.
Nous partons aussitôt visiter la cathédrale, mais celle-ci n’est pas terrible. Nous allons ensuite au marché ; celui-ci occupe toute une cuadra et on se perd au milieu des dizaines d’étroits passages où les échoppes croulent sous les produits. On vend sur des étals ou par terre, de beaux légumes, des épices, des fleurs (pour la Toussaint), …Nous ne trouvons pas le marché aux poissons et quand on le retrouve, tout est déjà terminé.
Serge ne sent pas très bien et a quelques problèmes intestinaux.
Nous poursuivons quand même notre balade jusqu’au paséo Montejo, qui sont les Champs Elysées de Mérida, avec une large avenue comprenant une série de très jolies demeures du début du siècle, occupées par de nombreuses banques, dont ING.
Nous mangeons des frites et burger dans un Mc Do.
Retour à pied difficile car Serge ne sent pas bien. Il a de la fièvre (38,2 puis 38,8) et a sans doute pris froid avec l’airco des jours précédents.
Nous mangeons des frites et burger dans un Mc Do.
Retour à pied difficile car Serge ne sent pas bien. Il a de la fièvre (38,2 puis 38,8) et a sans doute pris froid avec l’airco des jours précédents.
VENDREDI 02 NOVEMBRE 2007 : Mérida
Mal dormi. L’entreprise en face de l’hôtel a déchargé un camion avec un clarck jusqu’à une heure du matin.
Serge a toujours de la fièvre. Je vais chercher des couques et des boissons.
Je me balade seule dans la ville grouillante d’animations avec ses petits magasins, mais aussi, avec la pollution des gaz d’échappement. Quelques bâtiments ont conservé leur charme colonial. Mais il fait doef !
Comme nous n’avons pas bien dormi, nous réclamons auprès de la patronne, qui nous propose de changer de chambre à l’arrière du bâtiment. Ce que nous faisons. Serge est toujours faible et fiévreux. Finalement, nous nous rendons dans une pharmacie où on nous donne une boîte d’antibiotiques à prendre toutes les 6 heures.
Je vais me renseigner pour les taxis collectifs pour Muna et Ticul.
Souper avec un morceau de pizza. Internet. 20h : dodo.
Avec les médicaments, Serge va un peu mieux.
Avec les médicaments, Serge va un peu mieux.
SAMEDI 03 NOVEMBRE 2007 : Mérida – Ticul
Serge va mieux, bien qu’il soit encore faible, mais il n’a plus de fièvre.
Après un passage à la boulangerie-pâtisserie en face de l’hôtel, nous nous rendons à la calle 69/62 pour prendre un taxi collectif pour Ticul (prononcez Tikoul).
Après 10 minutes d’attente, le taxi est plein et prêt à partir. Mais Serge est parti sur la place faire un petit tour et je ne le vois plus. En fait, il visite l’église voisine.
Bon, nous sommes 16 voyageurs dans cette camionnette plus le chauffeur. Les vitres sont teintées et Serge ne peut pas faire de photos du paysage. Après 65 km et 1h30 de route, nous arrivons ver 10h à Ticul, petit bourg sympathique à l’ambiance festive avec ses moulins et carrousels. Très belle église de l’extérieur.
Après 10 minutes d’attente, le taxi est plein et prêt à partir. Mais Serge est parti sur la place faire un petit tour et je ne le vois plus. En fait, il visite l’église voisine.
Bon, nous sommes 16 voyageurs dans cette camionnette plus le chauffeur. Les vitres sont teintées et Serge ne peut pas faire de photos du paysage. Après 65 km et 1h30 de route, nous arrivons ver 10h à Ticul, petit bourg sympathique à l’ambiance festive avec ses moulins et carrousels. Très belle église de l’extérieur.
Nous trouvons à loger à l’hôtel Mario’s, où les chambres semblent neuves. Patronne très sympa. Nous donnons notre linge à laver, il sera sec 5 heures plus tard.
Nous prenons un taxi pousse-pousse pour aller visiter le cimetière à la sortie de la ville. Comme la Toussaint vient de passer, de nombreuses tombes ont été repeintes et semblent comme neuves.
A côté du cimetière, une entreprise artisanale : une véritable caverne d’Ali Baba maya. Nous visitons l’atelier et la salle d’exposition où se trouvent quelques objets rares et chers, mais tellement beaux (masque en jade, animaux, sifflets, peintures murales, …).
Nous nous rabattons sur la première salle d’exposition où les prix sont nettement plus raisonnables et nous achetons une petite tête de jaguar. La patronne est en train de dessiner un plat.
Nous rentrons en taxi pousse-pousse dans le centre ville. Après avoir déposé la tête de jaguar à l’hôtel, nous allons manger des tartines grillées farcies de jambon-fromage, salade, tomates.
Nous nous renseignons auprès de la compagnie des bus pour aller à Uxmal demain, puis rentrons à l’hôtel pour nous reposer.
Nous nous renseignons auprès de la compagnie des bus pour aller à Uxmal demain, puis rentrons à l’hôtel pour nous reposer.
Nous repartons en soirée à la recherche d’un resto. Nous passons devant l’église et allons assister à la fin de l’office d’un mariage. C’est la fête du samedi soir, les enfants et parents participent aux différents moulins.
Comme nous ne trouvons pas de resto, nous retournons au boui-boui de ce midi pour manger à nouveau des tortas garnis.
Retour à l’hôtel et dodo à 20h45.
